Le cancer du sein est le plus fréquent des cancers féminins. Statistiquement, on estime qu’une femme sur huit développera cette tumeur. De plus en plus, les progrès thérapeutiques ouvrent la voie à une médecine dite « de précision » : plus personnalisée et adaptée au patient. Cependant, la complexité biologique des cellules cancéreuses mammaires est loin d’avoir révélé ses secrets et freine souvent cette approche.
Dans ce contexte, une équipe de chercheurs de l’Université de Namur s’est penchée sur l’étude fondamentale de cellules cancéreuses mammaires.

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